Soirées

« Je hais les dédicaces »

Vendredi 25 septembre
Salle de concert du Point Ephémère- 20h00- entrée payante 13€ en pré-vente 15€ sur place

Le soir, après une rude journée à moissonner les champs du 9ème art, Formula Bula résonne au son des meilleurs troubadours. Bientôt une horde de danseurs rejoignent notre parquet pour un bal des plus ardents, c’est l’heure de la fameuse sauterie made in FERRAILLE  : Soirée « Je hais les dédicaces !» Achetez vos places en prévente sur le site du POINT ÉPHÉMÈRE

 

AVENUE Z (Bx)+ BITPART ( Paris)

Avenue Z

Déconcertante reconversion bien qu’attendue des indéboulonnables Magnetix : AVENUE Z, rivière d’acide dans la ville grise et post-apocalyptique de leurs âmes, dont ils ont toujours été les complices agréés. Lucien Vibration et Agnès croisent un jour dans une ruelle Beckettienne, Antoine (Secte du Futur/ Catholic spray). Lugubre ondulation synthétique et garage post-moderne, rayon de soleil brûleur de rétine et guitare-moog-fuzz-synthé roulant dans les catacombes de marbre lisse. Sombre inspiration ultra francophone et toujours magnétique, à la bouche qui se déforme et à la tête qui se renverse, Agnès, batteuse de nos rêves depuis le Big Bang! Délire adolescent et questions existentielles alchimistes. Album AZIMUT prévu en octobre sur « moi j’connais rds » (Genève) ! Rétro futur où comment donner son corps à la Science-Fiction. Le panzer musical vient secouer la capitale en exclusivité pour Formula Bula.

BItpart

BITPART_logo
Bitpart est un power-trio parisien qui évolue dans les profondeurs du DIY français depuis 2010. Entre énergie héritée du punk-hardcore et mélodies indie-pop, leur musique tient beaucoup de la scène alternative/punk nord-américaine des années 90, dans ce qu’elle offrait de plus spontané, sincère et amer…Pensez Sebadoh, Breeders, Bikini Kill, Unwound, Fugazi…


« Bertrand Mandico, l’amanite phalloïde du cinéma français… »

Samedi 28 septembre à 20h
Salle de concert du Point Ephémère – Projection 50 min. Pas d’entrée possible pendant la projection

Voilà que l’été s’achève et déjà c’est l’automne… Finis les plages et les chichis pour l’équipe du ciné Ferraille. Rien que pour vous, nous avons enfilé bottes et K-way pour dénicher dans les bosquets du 7ème Art, des « Amanites Celluloïds » bien hallucinogènes !

Projection du dernier film de Bertrand Mandico Notre dame des hormones puis rencontre autour de son travail cinématographique avec Pacôme Thiellement, essayiste, le producteur Emmanuel Chaumet (Ecce films, La fille du 14 juillet, Notre Dame des Hormones) et Blutch, auteur. Animé par Philippe Emmanuel Sorlin, écrivain, réalisateur.

« Notre Dame des hormones met en scène pendant près de 30 minutes 2 femmes. 2 actrices qui répètent une pièce improbable dans les bois et … une créature. Une créature est d’ailleurs un bien grand mot pour cette espèce de « blob » organique composée d’une boule informe de chair légèrement velue agrémentée d’un appendice situé quelque part entre le doigt d’E.T. et un pénis malingre mais dressé et tout cela sans aucun orifice, pour rajouter un peu au mystère et au suspense. »

mandicoBertrand Mandico : Le réalisateur du film Boro in the box (Grand Prix du Lausanne Underground film é music festival) a plus d’une corde à son arc. Il est réalisateur de films de fiction, d’animation et de clips et dessinateur. Il évolue en marge de toute règle préétablie et avec un univers personnel, une dizaine de courts-métrages à son actif, et des projets de longs-métrages, Bertrand Mandico n’a pas fini de faire parler de lui. Partons à la rencontre de ce cinéaste afin d’évoquer ses projets, ses méthodes de travail, sa vision du cinéma et sa passion pour le dessin.